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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 19:15

La romancière lauréate du prix Goncourt 2009 "persiste et signe" ses propos qu'elle a tenu il y a deçà trois mois mercredi 11 novembre toujours dans une interview aux "inrocks". Elle ajoute qu'elle n'attend plus qu'une chose, c'est que Frederic Mitterrand intervienne dans ce "débat ridicule" et "mette un point final à cette affaire Raoult qui est quand même pour le moins grotesque".

Et nous avons enfin eu hier soir une réponse de notre ministre de la culture, Frederic Mitterrand, qui a mis bien longtemps pour réagir.
Une réponse décevante : "En tant que ministre de la Culture, je ne veux pas entrer dans cette petite polémique que j'estime anecdotique et, pour tout dire, ridicule". C'est clair, il ne veut pas prendre parti.

Mais Eric Raoult nuance ses propos : il ne demande plus à Marie N'Diaye un "devoir de réserve" mais un "principe de modération".

Pour Marie N'Diaye, la polémique est close, elle ne reviendra pas plus sur ses propos. Et Eric Raoult n'est plus en mesure d'oser relancer la polémique. a priori, jeudi soir, affaire réglée.

Mais dès aujourd'hui, vendredi 13, les politiques s'en mêle : le PCF, le PS, le centre et la ligue des Droits de l'Homme s'insurgent contre les propos d'Eric Raoult (chacun son tour après tout) tandis que l'UMP répond qu'ils sont opposés à "la censure", tout en appelant  Marie N'Diaye à "la mesure" et en ajoutant "Je rappelle à Mme NDiaye que tout ce qui est excessif est insignifiant. Et ce qu'elle a écrit ne correspond pas à la France de Nicolas Sarkozy. C'est à cent lieues de la réalité". Tout tourne à la politique, même le prix Goncourt, pas du tout en lien avec le gouvernement jusqu'à preuve du contraire .

Mais revenons en à la culture, et plus précisément au prix Goncourt puisque tout part de là. Même si Marie N'Diaye estime la polémique close, les précédents lauréats, Atiq Rahimi et Gilles Leroy s'expriment sur le peu de réaction du ministre et la trahison qu'il perpètre contre le prix Goncourt 2009, Marie N'Diaye. Atiq rahimi dit "les propos de Marie Ndiaye ont été formulé bien avant le prix Goncourt et les remettre ainsi en question, c'est désavouer l'intégrité de l'Académie Goncourt" et Gilles Leroy affirme son soution à Marie : "Je suis un ami de Marie. Je ne suis pas un ami de Frédéric Mitterrand, que j'ai rencontré trois fois dans ma vie", "Le devoir de réserve, ça n'existe pas. Nous ne sommes pas des préfets, nous ne sommes même pas des ambassadeurs, c'est stupide. C'est vouloir faire taire l'écrivain, ce n'est pas nouveau". Les académiciens non plus ne décolèrent pas : « Nous ne répondons pas de l’Etat pour donner le prix qui est de dix euros », a déclaré Françoise Chandernagor et Bernard Pivot a pour sa part affirmé que « le devoir de réserve des Prix Goncourt n’a jamais existé, n’existe pas et n’existera jamais. (…) Ici, on juge un livre, pas son auteur ».

A suivre...



Constance : Une polémique autour de la culture qui s'élargit à toute la politique n'est pas très étonnant : l'opposition s'insurge contre cette nouvelle forme de censure, un entravement  la liberté. C'est tellement facile : je pense que l'UMP à vraiment fait une connerie en laissant l'occasion à Eric Raoult de s'exprimer : "un responsable politique UMP qui veut faire taire un intellectuel, c'est ne rien comprendre à ce qu'est la démocratie" affirme Bayrou. La phrase résume toute la polémique. Ce ne sont pas les propos de Marie N'Diaye qui ternissent l'image de la France, mais plutôt Eric Raoult qui, en proposant son "devoir de réserve", propose une sorte de censure, censure non condamnée par le ministre de la culture, même si elle a été rejetée. Si l'image de la France reste celle du pays de la liberté, Sarkozy est (aussi) sacrément bon pour manipuler les médias étrangers.
Ce que je trouve encore plus choquant, c'est les commentaires que je vois à la suite des articles sur la polémique : beaucoup relèvent d'une portée raciste et demande que l'on enlève la nationalité française à Marie N'Diaye parce qu'elle... s'est opposée au gouvernement actuel. D'après eux, elle a "ternit à l'image de la France", mais au fond, c'est ça : une simple opposition à Sarkozy.
Je juge cette proposition de "devoir de réserve" pour des écrivains lauréats de prix français (comment dit Raoult déjà ?) "innaceptable" et "insultante" envers Marie N'Diaye et tous les écrivains, dont le premier droit est de s'exprimer librement . On peut même ajouter que le peu de réaction du ministre est "anecdotique" et "ridicule" ^^ C'est bizarre à quel point les paroles de ces politiciens peuvent s'appliquer à eux-mêmes...
Juste une question : quelle est la différence entre "devoir de réserve" et un "principe de modération", mis à part que le 2e est un euphémisme du 1e ? et une "petite" polémique dont tout le monde parle ? J'ai du mal à imaginer une vraie grande polémique...
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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 16:18
C'est pratiquement impossible de définir un/une australien(ne), ou l'Australie surtout la culture d'Australie, parce que il y a tant de variations. Il y a la culture aborigène, le stéreotypique 'anglais-australien'  (Steve Irwin, etc) et aussi la culture que les nouveaux immigrants ont apportée dans les années récentes. L'Australie n'a pas la même riche histoire que la France, d'une part à cause du fait que l'Australie est un pays relativement nouveau, d'autre part parce que c'est un lointaine de beaucoup de pays et donc n'avait pas l'influence des autres cultures jusqu'à récemment, et maintenant a peut-être trop d'influence entrangère, si possible. Par consequént, la nourriture australienne n'est pas vraiment dévelopées, et les australiens en génerale a tendance à manger la nourriture des autres cultures (sauf s'ils voulent manger seulement australienne, et donc mangent uniquement quelque plats dans leur vie).
Par exemple, le suishi japonais est très populaire (Maddie est probablement la seule personne que je connais qui ne l'aime pas). En fait, la nourriture de l'Asie en général est    ssew populaire en Australie, tel que le Malaysie, le Chinois et même l'Inde un peu!
Il y a beaucoup d'architechure entrangère en Australie, et c'est de plus en plus courant d'avoir un banlieu complèt qui ressemble un autre pays ou est un represèntative d'une autre culture. On a 'Chinatown', ou je pense 'petite Chine' en français, à Melbourne et à Sydney. Il y a les banlieues italien et greque aussi. Par ailleurs, il y a bien de religions présent, donc il y a beaucoup de batîments pour ces religions tel que des mosques.
La cinèma entrangère est aussi assez populaire en Australie, et on a quelque cinèmas seulement pour les films entranges.
Finalement, il n'ya pas un définitif 'australien' parce que l'Australie comporte de tant de cultures et peuples. Tout ces cultures sont fusionées ensemble et ont créé l'image qu'est l'Austrlie aujourd'hui.
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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 21:58
Ce soir, je suis passé à la Radio Bro Gwened pour parler du prix Goncourt des Lycéens en compagnie de Madame Le Villio et Mr. Urnauer. J'y étais d'ailleurs à sa demande (demande ? ou embrigadement ?). Je n'étais vraiment pas chaude au début : mes principaux arguments pour dire non étaient je ne sais pas parler lentement, je ne saurais pas quoi dire, je n'ai pas de temps pour me préparer psychologiquement, trop de stress. Et puis, un peu poussée quand même, j'accepte. Alea jacta est.
19h30, ce jeudi. Je suis donc devant les locaux de RBG. Je n'ai pas faim, j'ai envie de fumer une clope pour dé-stresser. Mais pas le temps, j'arrive juste à l'heure, voire à la bourg. Je rentre dans les locaux et je rencontre des personnes sur qui on voit, rien qu'au ton de leur voix, qu'ils ont l'habitude de passer à la radio ou de parler beaucoup et bien. Ils se connaissent tous très bien. Et moi, je suis là à me dire "qu'est-ce que je fais là ? qu'est-ce-que je vais bien pouvoir dire ? de toute façon, je n'arriverais jamais à parler...". Je ne sais pas trop où me mettre quand d'un coup, j'ai un "allez, on y va" énergique de Mr. Urnauer et je me retrouve devant un micro avec un casque sur les oreilles. Je suis toujours en train de me demander pourquoi j'ai accepté. Je tremble et je sens que si je veux dire quelque chose, ma voix va bégayer. (Je suis bien dans la merde, pour dire les choses comme elles sont). Mais j'ai de la chance, Mr. Urnauer parle bien une minute avant de me demander... le titre du bouquin gagnant. Ce n'est pas trop difficile. Le noeud au ventre se désserre. Mais il se resserre aussitôt quand j'entend Madame Le Villio et Mr. Urnauer parler de ce qu'ils ont pensé du Club des Incorrigibles Optimistes, et que je sais qu'ils vont me demander mon avis sur le pourquoi les lycéens l'on élu. La question arrive. Mais il y a tellement de choses dans ce bouquin. Je l'ai aimé pour ce million de choses. Alors je dis, au pif, "pour son narrateur". Nouvelle question : "présente nous ce narrateur". Et puis là, ça commence à venir. "Michel est un adolescent français des années 60...", "on s'identifie à lui", "il est drôle, émouvant"... Après on part sur les émigrés et plein d'autres questions. Mais ça y est, je suis partie. Je sais quoi dire. Je ne sais pas encore quand placer mes interventions mais finalement, je n'ai qu'à répondre quand on me pose des questions. Répondre de la manière la plus simple qui soit parce que les gens qui m'écoutent (oui, je crois qu'il y en a^^) n'ont pas lu le livre et que je dois leur donner envie de lire ce bouquin sans trop en révéler, mais assez pour bien présenter le roman. Et ça y est, c'est finit. Mr. Urnauer demande une pose avant de passer à la suite. J'enlève le casque. Et là je suis félicitée par Madame Le Villio, Madame Izanic et Mr. Urnauer. Je suis étonnée, je n'avais pas eu l'impression d'être bien, ni même correcte... J'en parle vite fait (je sais, l'expression ne veut rien dire mais elle sonne bien) avec Mr. Urnauer qui me dit que si, je disais des choses intéressantes et que je parlais correctement.
Maintenant, je me dis que finalement, c'était cool. Je recommencerais bien. En étant là-bas, tu as vraiment l'impression de partager quelque chose, et de maîtriser ce quelque chose. Et ce quelque chose, c'était Le Club dees Incorrigibles Optimistes, et parler de ce livre que j'ai beaucoup aimé, faire partager mon enthousiasme à propos de lui, n'est pas si anormal et me paraît même logique et pas trop difficile.
Au final, beaucoup de compréhension et d'aide plus une aisance qui arrive assez vite donnent un bon souvenir et une expérience enrichissante.

NB : Mr. Urnauer est motivé pour faire d'autres enregistrement radios avec toutes les personnes de la classe intérressées, dont moi si je peux. Et je trouve que c'est mieux de faire ça, même sur son temps libre, plutôt que de bosser sur un exo idiot chez soi. J'ai appris 10 X plus de choses en 25 minutes que sur un exo d'une page pour dire en quoi telle expression sur tel texte signifie cela : en 25 minutes de radio, j'ai appris à parler d'un livre pour (essayer de) donner envie de le lire, à parler moins vite, à condenser les informations pour les rendre intéressantes, à savoir répondre à une question simple pour un public invisible, à partager tout simplement...  Toutes des choses qui me seront utiles pour longtemps et qui m'apportent une réelle aide pour les oraux de français, mais aussi pour tous les jours, quand je veux exprimer un point de vue sur n'importe quoi.
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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 22:04
Depuis trois jours, Marie N'Diaye, prix Goncourt 2009, s'est retrouvée propulsée au coeur d'une polémique pour des propos qu'elle a tenu... trois mois plus tôt.
Tout à commencer par une lettre qu'Eric Raoult, député UMP, écrit au ministre de l'éducation et qu'il rend publique (il la rend d'ailleurs publique avant même de l'amener au ministère...). Il y dit que les propos de Marie N'Diaye tenu il y a trois mois lors d'une interview au magazine Les Inrockuptibles sont insultants et innaceptables. Elle dit en effet que "la France de Sarkozy est monstrueuse" et que "Besson, Hortefeux, tous ces gens-là, je les trouve monstrueux". Le député demande un devoir de réserve pour les lauréats de prix français, voire pour tous les écrivains de nationalité française. Ils ne devraient plus, selon lui, exprimer trop haut leur point de vue politique, cela ternirait l'image de la France...
L'académicien Goncourt Patrick Rambaud répond que "Eric Raoult confond le prix Goncourt avec Miss France"et que "l'identité française consiste justement à pouvoir dire ce que l'on veut, et ceci depuis Vercingétorix". Propos appuyé par Tahar Ben Jelloun, autre juré Goncourt.
Des propos ressortis d'un vieux dossier, une proposition de loi sur un "devoir de réserve", des académiciens en colère, une Marie N'Diaye qui ne doit pas trop comprendre où elle en est... De quoi être complètement perdu !

Réactions :
Constance : Un "devoir de réserve" ! Et puis quoi encore ! Autant empêcher les écrivains d'écrire ! Et après ça, on dit que la France est un pays de liberté !
Et en plus Marie N'Diaye n'a pas proclamé son opposition à la France de Sarko depuis que les médias parlent beaucoup d'elle (qu'elle a été retenu dans la sélection Goncourt). Seulement Eric Raoult voulait lancer une polémique et critiquer le choix des académiciens et il a trouvé son bonheur dans une interview que la lauréate a tenu il y a quelques mois. Il peut même proposer une loi qui réduit la liberté d'expression de l'opposition !
Et en quoi son exil pour Berlin ternit-il l'image de la France ? Elle ne revendique pas son opposition à la France toute entière, seulement au gouvernement en place. Je crois que Marie N'Diaye est une personne qui respecte les valeurs premières de la France (liberté, terre d'exil, droit de l'homme...) et qu'elle aime son pays. Partir pour échapper a un "climat de flicage", comme elle l'a dit dans cette interview, ou un climat trop "morose", comme elle se force à rattraper aujourd'hui pour calmer la polémique, est son choix et personne n'a à le contester. La France elle-même proclame notre nationalité européenne...

L. Urnauer :

Petit cours d'étymologie : "monstrueux", a pour origine le latin "monstrare" qui signifie "qui se montre" ?...

Et un Président de la République qui veut faire croire qu'il a été le premier à abattre le Mur de Berlin, le 09 novembre 2009, c'est bien quelqu'un qui cherche à se montrer, non ?...

Les propos tenus par Monsieur Raout sont d'un autre âge ( et il serait bien fâcheux que cet âge nous revienne) : je n'ai pas de Carbone 14 sous la main, mais je les daterais tout de même d'avant 1789 et, donc, avant que le Siècle des Lumières ne se soit tout à fait bien allumé !...
Or, ça tombe bien, le Siècle des Lumières, nous allons bientôt en parler !... ^^


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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 21:24
Sur le site du Café Pédagogique


Futures graines de star en herbe, va !... ^^



http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2009/11/lyceensPontivyGoncourt.aspx


extrait :

" Les lycéens de Pontivy jugent le Goncourt 


Le 22ème Goncourt des Lycéens a été remis lundi 9 novembre à Rennes à Jean-Michel Guenassia pour son roman Le club des incorrigibles optimistes (Albin Michel). Voici quelques jugements de lycéens de Pontivy sur le roman de Jean-Michel Guenassia : " 

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 18:34




Tout le monde est content, dans la classe (je crois que l'on peut le dire !...) : tous ceux qui ont lu Le Club des incorrigibles optimistes  ont été totalement emballés par ce livre, de 750 pages, pourtant.
Sous ce pavé, des pages, mais aussi les années 60 à Paris, la vie lycéenne d'un ardent jeune lecteur, la vie difficile des réfugiés d'Europe de l'Est, qui gardent malgré tout leur humour et leur optimisme (jusqu'à en faire un club) et se consolent de leurs échecs passés en jouant aux échecs, sans jamais s'avouer vaincus.
Et aussi l'ambiance retrouvée de la Guerre Froide ( en ce jour où l'on commémore la chute du mur de Berlin, le choix du jury est décidément pertinent !... ^^ ), la Guerre d'Algérie ( dont Laurent Mauvignier  traitait lui aussi, dans un style plus acéré, une écriture du ressassement poignante et efficace ... mais sans doute plus appréciée par des lecteurs adultes ...) et Sartre, et Kessel, qui passent parfois dans ce petit club qui a trouvé refuge au fond du bar "Le Balto".
Mais qu'a-t-il donc de si particulier, ce livre, pour qu'on ne puisse plus le quitter, et qu'on en dévore les pages avec tant de délectation ?... Est-ce le fait que l'histoire soit racontée par un lycéen qui a tant plu à nos jeunes lycéens ? Est-ce cette alternance entre la chronique familiale et les (més)aventures de ces immigrés politiques d'un autre siècle qui nous le rend si attachant ?
Car c'est moins ses qualités proprement littéraires que l'affection jubilatoire qui provoque un tel enthousiasme. si bien que, malgré son flot de pages, on se laisse submerger avec un plaisir si contagieux, que cette joie de le lire en devient communicative, et que l'on voudrait que ce livre passe entre toutes les mains, provoque autant de bonheur qu'on en a eu à le lire et nous rendent, tous, un peu plus optimismes ; quand bien même, cette année, la sélection du Goncourt avait plutôt de quoi nous rendre pessimistes, tant les sujets abordés par la plupart des romans sont durs, et parfois même traumatisants : il y est en effet question (beaucoup) de guerre(s), des violences faites aux femmes, des questionnements profonds sur ce que nous lègue l'Histoire, et comment elle nous entraîne dans son sillage sombre.
Pour autant, elle fut belle, cette sélection : des livres bien écrits, captivants, qui forment tous un précieux témoignage du temps présent, tout en s'interrogeant, donc, sur un passé difficile à digérer, mais en nous fournissant des clefs qui pourraient nous permettre, sans doute, de mieux appréhender l'avenir.
Car c'était Un brillant avenir que nous promettait déjà Catherine Cusset, heureuse lauréate de l'année 2008. Cette année, donc, il s'agit d'être d'incorrigibles optimistes !
Tout ne va pas si mal, en fin de conte (^^) : il s'agit de le dire, le lire, l'écrire.
Et de garder en tête que ce qu'on lit est ce qui nous relie. Tous. Pour  aller ensemble vers un peu plus d'humanité ...


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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 20:41
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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 20:20
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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 20:07
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