21 novembre 2011
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Cette gravure de Théodore de Bry montre la violence de l'arrivée des colombs en amérique, ils sont armés et protégés par des armures alors que les indiens sont représentés presque nus
seulement vêtu d'un tissu bleu, ils sont sans armes. On voit une flotte derrière C. Colomb faisant fuir des indiens a l'arrière plan. Théodore de Bry dénonce l’arrivée brutale des
Colombs qui sont représentés en position de force alors qu'ils sont reçus avec de nombreux objets de valeur en or. Théodore de Bry dénonce aussi la conversion au catholicisme comme peut faire
penser la croix plantée par les Colombs.
20 novembre 2011
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Il s'agit d'une gravure représentant Adam et Eve.
A l'époque, il n'est pas rare de figurer des scènes bibliques. Seulement cette fois, l'image cherche à transmettre un nouveau message. A savoir que le
Nouveau Monde est indissociable du concept de Paradis. De par la nudité des Hommes mais aussi pour cet aspect d'abondance sans avoir à travailler. L'innoncence, la simplicité.
T. de Bry veut sans doute défendre les indigènes en montrant aux Colons que s'ils sont différents d'eux, ils le sont de peu. Ils se présentent sous la
forme originelle de l'Homme telle qu'elle est décrite dans la bible. De ce fait, il n'y aucune raison qui justifierait de se moquer d'eux ou de les juger inférieurs.
Louise Le Fralliec
20 novembre 2011
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Cette gravure de Théodor de Bry représente une scène de cérénomie qui s'achève ensuite dans la dérovation de prisonniesr ou de protagonistes.
En vue de la fête, les femmes préparent les boissons fermentées dans des cuves tandis que d'autres s'occupent des récipients pour les substances colorantes qui
serviront à décorer les prisonniers.
A l'arrière plan,des hommes sont en tenue traditionnelle à la cérémonie et pratiquent une danse.
On peut constater que ce rituel de mise à mort est très organisé chez les Indigènes, chacun à sa place et sait ce qu'il doit faire.
La collaboration des femmes est complémentaire, toute la commaunauté travaille en groupe.
20 novembre 2011
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Théodore de Bry : ( 1528-1598)
Cet homme a fait plusieurs métiers : dessinateur, graveur, et editeur. Il s'est installé lui et ses ateliers de gravure, notamment à Liège ( son
lieu de naissance) à Londres, à Strasbourg et à Francfort ( son lieu de décès).
Ses ateliers ont eu une grende renommée. Ses gravures se composaient sur de reproductions, de portraits et de modèles d'ornements.
Analyse de l'oeuvre :
Ce tableau représente au premier plan un aztèque qui domine un rassemblement de femmes acrroupies. Elles semblent avoir peur et lui sont sont soumises. Au
deuxième plan, on peut apercevoir des Espagnols discutant entre eux. Ce sont eux qui se sont emparés du territoire aztèque lors de la grande conquête. On devine aisément qu'ils dominent
de toute leur puissance les Indiens. Les Indiennes pauvrement vêtues tandis que les Espagnols sont eux, richement habillés. Ce qui montre bien que les aztèques sont considérés tels des
animaux.
20 novembre 2011
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Théodore de Bry est né à Liège en 1528 et est mort à Francfort le 27 mars 1598 à l'age de 70 ans c'est un dessinateur, graveur et éditeur liégois.
Cette gravure de Théodore de Bry représente l'approvisionnement des repas pour le village. Comme nous pouvons le constater pour
l'approvisionnement ce sont uniquement les femmes ,vétues de petites toges de feuilles, qui ramènent la nourriture à l'aide de paniers d'osier qu'elles portent sur leurs dos. On peut remarquer
que cette tâche est pénible et dure car ces femmes sont souvent à deux pour un panier,une femme qui aide à mettre sur le dos et l'autre femme qui porte. Elles ramènent des fruits, du poisson et
un peu de viande.Ces vivres serviront à nourrir le village entier cependant les femmes devront y retourner très rapidement. Ce travail est érintant et très dur physiquement. Cette gravure nous
montre la position, et les devoirs de la femme.
19 novembre 2011
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Cette gravure de Théodore de Bry illustre comment les indigenes se soignaient :
Ils construisaient un banc assez long et large pour la personne malade, celle-ci était installée sur son dos ou sur son ventre selon la nature de sa maladie. Ilcoupaient ensuite la peau du front
du malade avec une coquille aiguisée, sucent le sang avec leur bouche et le crache dans un récipient en terre ou une gourde.
Ce sang est bu par les femmes allaitant leur bébé ou enceintes car les indiens croyaient que cela rendrait leurs enfants plus fort,plus saints et plus actifs, particuliairement si le sang
provenait d'un fort jeune-homme.
Puis, lorsque le malade était sur le ventre, ils préparaient un feu dans lequel ils jetaient des graines (surement curatives)et le malade, pour se purger, inhalait la fumée par le nez et par la
bouche.
Théodore de bry ajoute aussi que les indigènes conaissent toute sorte de plantes et de remèdes naturels pour traite leurs maladies.
19 novembre 2011
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Source de l'image
"L’arrivée des Espagnols à San Salvador" est une gravure de Théodore de Bry datant de 1594.
Cette œuvre correspond à l’arrivée des espagnols en Amérique et leur rencontre avec les indiens, pour
leurs richesses, la volonté de les convertir au christianisme et le début de la colonisation espagnole.
Au premier plan, les conquistadors reçoivent les richesses qu’ils ont demandé aux indiens, qui leur en
donnent beaucoup (ils sont généreux). Les espagnols semblent hautains et ne leur donnent rien, mais les indiens ont des visages bienveillants et paraissent accueillants (ils sont donc plus
civilisés que les espagnols sur ce point). C’est ici un choc des cultures ; on le remarque avec leurs vêtements (les espagnols sont richement vêtus mais les indiens ne portent rien),
les armes des espagnols (épées, lances) et leurs moyens de transport (les bateaux).
A l’arrière, des espagnols installent une croix chrétienne sur les terres des indiens : on voit leur volonté de convertir les populations colonisées au christianisme, de force.
Au dernier plan, d’autres bateaux arrivent et les indiens paraissent effrayés : c’est le début de la colonisation.
Théodore de Bry montre ici le commencement de la colonisation espagnole, brutale, ne laissant pas aux indiens
les moyens de se défendre face aux espagnols armés, et les contrastes entre ces deux peuples.
18 novembre 2011
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« Scène de Cannibalisme » de Théodore De Bry, XVIème siècle
Dans cette œuvre, au centre, se trouve un feu où des morceaux de corps provenant d'Indigènes sont mis à « griller ». Le plus horrible et choquant dans
cette œuvre est de voir qu'une sorte de marché s'organise autour de ce feu. Un marché de viande humaine !
A travers cette œuvre qui représente des Indigènes en plein acte de cannibalisme, Théodore De Bry veut nous montrer les horreurs que les Espagnols ont commis car
ce sont eux qui nourrissaient les Indigènes de leurs frères décédés. Il dénonce les méfaits, qui ont découlés de l'arrivée des Conquistadors, sur cette civilisation qui était pourtant si calme et
pacifique avant leur arrivée. Théodore De Bry nous fait clairement passer un message à travers cette œuvre : les Espagnols ce sont mal conduit.