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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 14:29

 

Biographie de l'auteur :

Thierry Beinstingel est née à Langres en 1958. Il est cadre dans les télécommunications. Il s'est mis à l'écriture dans les années 90. Il écrit principalement des romans sur le monde d'aujourd'hui et plus particulièrement des romans d'entreprises. Son roman Composants à reçu une mention au prix Wepler en 2002. 

 

Bibliographie :

Central (2000)

Composants (2002)

Paysage et portrait en pied-de-poule (2004)

CV roman (2007)

Retour aux mots sauvages (2010)

source : Evene.fr

Résumé de Retour aux mots sauvages :

Eric perd son travaille d'électricien et se retrouve du jour au lendemain téléopérateur, à 50 ans . Dans son ancien métier il bougeait beaucoup et parlait peu tandis que maintenant c'est tout l'inverse. Les suicides se succèdent, on en parle dans les journaux. Pour ne pas perdre le sens de sa vie, Eric cours tous les jours et note ses performances dans un petit carnets où il note aussi les numéros des clients à rappeler, alors que c'est interdit.


http://images-booknode.com/book_cover_retour_aux_mots_sauvages_88342_250_400

Source : Booknode.com

Avis

Ce livre m'a plus déjà parce que c'est un livre facile à lire : Les chapitres sont cours et les mots sont simples et bien choisis. Il y a beaucoup de proverbes et de citations de La Fontaine : "Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf" (p.155) dont la morale de cette fable se retrouve à la page 293 : "Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages. Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs. Tout petit prince a des ambassadeurs. Tout marquis veut avoir des pages." N'ayant pas connu encore le monde du travail, je pense que certaines choses peuvent nous passer à côté. Un adulte ayant déjà travaillé le lirait certainement différemment. 

Audrey

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Adrien :

Le livre est plutot sympathique , j'ai bien aimé l'histoire de ses personnages . Une personne étant dans le monde du travail doit pouvoir s'identifier un peu plus que nous , mais je trouve que le récit reflète bien la réalité . De plus, le sujet abordé n'est pas courant . Toutefois on peut se perdre entre le passage incessant d'une personne à une autre et donc perdre le fil de l'action . A part ce détail , c'est un récit plutot agréable , rien d'extraordinaire mais rien de mauvais .

 

Camille : Un livre agréable à lire. On s'attache facilement à Eric, le personnage principal, et sa vision du monde du travail qu'il nous offre reflète plutôt bien la réalité qui nous attend, nous lycéens. Un sujet plutôt rare à dénicher dans les romans... La seule chose que je déplore, c'est le passage du narrateur d'un sujet à un autre, sans aucun rapport : il peut nous parler du travail d'Eric pour passer dans le paragraphe suivant à ses résultats de course. Sinon, un très bon livre, à prendre si on a envie de souffler un peu.

 

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 13:50

 

Vassilis Alexakis

 

Vassilis Alexakis est un écrivain greco-français né le 25 décembre 1943 à Athènes, Il s'installe à Paris en 1968 mais ne cesse de partager sa vie entre la France et son pays d'origine, la Grèce. Cet auteur écrit tantôt en français, tantôt

en grec, des récits mêlant autobiographie, roman policier et

récit fantastique,

Source : Google image .

 

Oeuvres:

 

  • Le Sandwich, Paris,1974

  • Les Girls du City-Boum-Boum, Paris,1975

  • La Tête du chat, Paris,1978

  • Talgo, Paris,1983,Traduit du grec par l'auteur.

  • Contrôle d’identité, Paris,1985

  • Paris-Athènes, Paris,1989

  • Avant, Paris,1992

  • La Langue maternelle,Paris,1995

  • Le Cœur de Marguerite, Paris,1999

  • Les Mots étrangers, Paris,2002

  • Je t’oublierai tous les jours, Paris,2005

  • Ap, J,C, Paris,2007

  • Le premier mot, Paris,2010, Ce livre est nominé pour le Prix Goncourt 2010.

Sources : Evene , wikipédia .

 

 


Source : Google image .

 

Le livre :

Miltiadis , ancien professeur en littérature comparée , se trouve être sur la fin de sa belle vie . C'est à ce moment là qu'il se demandera quel fut le premier mot ayant été prononcé par l'Homme . Malheureusement , il ne parviendra pas à trouver la réponse qui soulagera son départ . Le 2 janvier 2008 , Miltiadis est emporté par la mort . Sa soeur , âgée d'une soixantaine d'années , va alors entreprendre ses recherches afin d'apaiser cette absence et pouvoir mieux vivre son deuil . Ainsi , elle va faire la connaissance de scientifiques , d'anciennes connaissances de son frère , qui lui feront découvrir peu à peu le berceau de l'humanité et les mots qui ont mené au monde d'aujourd'hui , tel que nous le connaissons . Passant par l'histoire néenderthalienne , le savant Darwin , se plongeant dans la langue grecque , ce livre essaiera de répondre à une question existencielle , symbôle de notre humanité : Quel fut le premier mot ?

 

 

Avis :

Un livre que j'ai beaucoup apprecié tant par son écriture que son contenu . L'histoire est riche et interéssante , elle apporte une certaine culture ethymologique que nous ne sommes pas habitués à recevoir , mais également des connaissances historiques sur le monde d'autrefois . Relativement simple de lecture , cette oeuvre est egalement très complete . Au-delà d'une histoire , c'est l'Histoire que nous vivons , celle des langues ( qu'elles soient roumaine , grecque , ou même mortes ... ) et celle de l'humanité . Un livre qui donne envie d'en savoir un peu plus sur nos origines .

 

Adrien et Edouard

Ludwig: Ce livre m'a plus dans le fond mais pas dans la forme. Une écriture sans fortes émotions et j'irai presque jusqu'à dire sans vie. C'est linéaire, on ne prend pas plaisir à lire bien qu'il se lis très facilement. Ce n'est pas par la plume que "Le premier mot" risque de se distingué. Tout au long du livre on découvre des tas de choses intérréssantes mais parfois, et un peu trop souvent, des choses inutiles aussi. Ah, et la fin... J'avoue que j'ai du mal a comprendre l'auteur. Une fin baclée qui aurait pu être vraiment surprenante si l'auteur l'avait tourné d'une autre manière. Je suis bien conscient qu'il ne peut pas dévoilé le premier mot mais quand même... Un livre intérréssant dans sa trame et ses anecdotes seulement. Il m'a vaguement plu mais je ne le conseillerais pas.

 

 

Marylou:

 

Dés le départ j'ai vraiment accroché avec ce livre je l'ai trouvé vraiment interessant, ainsi que la façon d'écrire de l'auteur. Cependant il y a je trouve quelque description, explication inutile à des moments et qui peuvent rendre la lecture lassante. Ainsi que la fin je rejoins l'avis de Ludwig, j'aurais aussi voulus une explication peut-être un peu plus concrète.

 

Guillaume : Je n'ai vraiment pas aimé ce livre. Je ne l'es pas trouvé interessant. Je n'ai trouvé aucune histoire apart a connaitre l'étymologie des mots grec . Je trouve que la fin a été vite écrite et que l'auteur s'est perdu dans son histoire. Il a trop développé les dialogues, ce qui peut perdre le lecteur. de plus, il n'a pas assez développé sa fin, où l'on s'attend vraiment à autre chose.

 

Camille : Un livre qui aurait pu être intéressant si le style d'écriture de l'auteur n'avait pas été aussi linéaire, et l'histoire aussi plate. Il ne m'a pas spécialement plu et j'ai mis un certain temps à le lire, tant il ne m'intéressait pas. Certes, il a beau donner envie d'en savoir plus sur les origines de notre langue, mais faire tout un bouquin sur l'étymologie des mots... Ca devient vite gonflant. Sans compter la fin, totalement bâclée, mal tournée. En bref, ce n'est vraiment pas un livre que je conseillerais ni que je choisirais pour le prix Goncourt des Lycéens.

 

Ghalia:  Le premier mot d'Alexakis, est un bon livre sur deux points: l'histoire est intéressante, et le contexte aussi (notre époque, entre la France et la Grèce).

Rechercher le premier mot  pronnoncé sur notre planète, c'est une très bonne idée, une trame plutôt attirante; car, qui ne se pose pas ce genre de question sans réponse (pour le moment en tout cas)? Cette qui aurait pu, je dis bien aurait pu donner l'un des "bons romans" de la sélection goncourt lycéen. En effet, la seule chose qui n'en fait pas un bon roman, c'est l'écriture d'Alexakis. Trop de chose de dites, parfois incohérentes, et totalement inutiles, qui ne font rien d'autre que brouiller le lecteur qui se perd, et, une recherche du mot précis (après tout, vous me direz:"c'est normal, ce roman parle beaucoup d'éthymologie et du sens des mots), mais c'est ce qui à trop forte dose, rend la lecture trop "mécanique", pas assez vivante, et parfois, quasi vide d'émotion. Enfin,  ce roman n'a aucun rythme, il est d'une lenteur incroyable; c'est bien dommage, car vu son titre et sa trame accrocheurs, il aurait put, grâce à une écriture peut être moins mathématiques et froide, être l'un des meilleurs roman de cette sélection goncourt 2010. Je suis donc un peu déçue de cette lecture, qui à mon goût est un peu trop triste et déprimante.

 

Morgane Pr : Tout d'abord, je tiens à dire que je ne suis pas allée jusqu'au bout de ce roman d'Alexakis, non par manque d'enthousiasme mais je me suis rapidement ennuyé. Cela n'est pas dû au fait que l'histoire n'est pas intéressante au contraire on est toujours curieux de savoir d'où viennent les choses qui font notre quotidien et le langage en fait pleinement partie. Cependant, bien que cela soit un bon sujet, l'auteur a une écriture trop plate, il n'y a pas de rythme c'est beaucoup trop lent et en plus il y a des descriptions interminables ! Pour moi, l'auteur a su attirer la curiosité des lecteurs avec son sujet mais d'après certains avis qui précèdent le mien, il n'aura pas réussi à nous captiver. Donc, ce n'est pas un livre que je conseillerai.

 

Elodie:

En commençant ce livre, je me suis dit: "Tiens je vais apprendre plusieurs significations". J'aimais bien cette idée. Malgrés, cela, je n'ai pas été jusqu'au bout du livre. Je me suis lassée très très vite. Ce qui prouve que finalement ce n'étais pas un livre qui me plaisait.

Je déconseille vraiment ce livre..

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 21:22

Antoine et Isabelle de Vincent Borel

 

Vincent Borel est né à Gap en 1962, il fera des études de lettres en khâgnes puis àhttp://www.lelitteraire.com/IMG/Borel.jpg  l’université d’Aix-en-Provence. Vincent Borel a  été figurant dans plusieurs opéras avant son arrivée à Paris. Il y vit de petits boulots, notamment d’aide-soignant et va écrire son premier roman Un ruban noir qui raconte sa découverte de la nuit, des raves, de la transe et de la techno lors de son arrivée dans la capitale.

 

http://1.bp.blogspot.com/_TqcdK-EAFSw/THd5Icuqj4I/AAAAAAAAAEg/_wXUZnsWxL4/s1600/borelsw.jpg

En 1986, il fait son entrée dans un hebdomadaire parisien appelé 7 à Paris en tant que journaliste. Il change ensuite de journal pour travailler à Actuel (mensuel) en 1988 et finit par devenir le rédacteur en chef de Nova Magazine (mensuel) en 1998. Cette même année, il écrira un récit autobiographique nommé Vie et mort d’un crabe (Actes Sud, 1998).

 

 

En 2002, il écrit Baptiste (Sabine Wespieser éditeur) qui reçoit de très bonnes critiques et sera même primé dans la catégorie récit au Prix des Muses en 2003. L’année suivante, Vin cent Borel publie Mille Regrets (Sabine Wespieser éditeur). En 2006, il publie  Pyromanes et en 2010, pour la rentrée littéraire, il a sorti son dernier roman qui est Antoine et Isabelle.

 

 

 

So urces : - http://www.deslivres.com/auteur/625/Borel-Vincent.html

             - http://1.bp.blogspot.com/_TqcdK-EAFSw/THd5Icuqj4I/AAAAAAAAAEg/_wXUZnsWxL4/s1600/borelsw.jpg

             - http://www.lelitteraire.com/IMG/Borel.jpg

 

 

Il est important dans ce livre de bien comprendre le contexte historique, c'est pourquoi nous allons expliquer le thème principal, à savoir la Guerre Civile d'Espagne (1936-1939).
Le 17 juillet 1936, un groupe de militaires dirigé par Francisco Franco se soulève contre la république de Mola, et prend le pouvoir de quelques régions telles que la Vallée du Duero, l'Alava, la Navarre, l'Aragon, la Vieille Castille, la Galice, la Caceres, l'Andalousie occidentale et les provinces insulaires.

Mola quant à lui garde le contrôle de la Catalogne, Valence, Murcie, l'Andalousie orientale , Badajoz, la Nouvelle Castille, les Asturies, Santander, Viscaya et Guipuzcoa. Il organise des colonnes anti-fascistes dont les chefs appartenaient aux organisations politiques (Durruti et Ména pour la CNT , Lister et Modesto pour la PCE), et appelle à l'aide a l'Union Soviétique faute de pouvoir demander à la France et l'Angleterre qui sont dans une démarche de non-intervention. Il fait confluer ses troupes sur Madrid mais c'est un échec. Le 29 septembre 1936, Franco est élu généralissime chef du gouvernement de l'Etat d'Espagne.

Franco a le soutien de l'Allemagne (Hitler) et de l'Italie (Mussolini) qui l'aident notamment à faire débarquer ses troupes Africaines (20000 hommes) sur la Péninsule Ibérique.

A Séville, Yagüe, général des Rebelles , organise une marche sur Madrid, passant par l'Estrémadure et la Vallée du Tage. Après Bilbao le 19 juin 1937, les Républicains déclenchent l'offensive sur Brunete et Belchite pour éviter la préssion du Front Nord et forment leur organe de pouvoir avec Cabanellas. Cette même année Franco unifie les forces politiques pour former un parti unique.

Après son échec sur Madrid, Franco décide d'attaquer le Front Nord (Zone Industrielle), en octobre il conquiert les Asturies et en 1938 il se retourne contre l'Aragon. Il est surpris par les Républicains qui franchissent l'Èbre (d'où la chanson révolutionnaire «El pasito del Ebro»), la bataille de l'Èbre dure de juillet à novembre. Barcelone, qui nous intéresse plus particulièrement de part son importance dans le roman, est tombée le 26 janvier 1939. L'armée républicaine et des milliers de civils se réfugient en France. Les franquistes occupent Madrid le 28 mars et le 1er avril, et Franco annonce alors la fin de la guerre. Cette guerre a inspiré un grand nombre de films, et aussi évidemment le roman Antoine et Isabelle.

 


 

 

 

Critique de «Antoine et Isabelle» de Vincent Borel.

 

Morgane:

 

         Le livre «Antoine et Isabelle» de Vincent Borel est un livre intéressant sur le plan historique mais l'histoire en elle-même ne m'a guère plu. J'ai été fortement déçue par ce livre alors que le thème que nous présentait le résumé. Je n'aime pas tellement les récits autobiographique et ce livre est un roman autobiographique, c'est sûrement pour cette raison que je n'ai pas tellement accroché à l'histoire. Je ne comprenais pas beaucoup l’histoire du village au début du livre, je me perdais dans les familles mais j’ai réussi à m’y retrouver au fil de ma lecture car les familles du village se séparent (les grands-parents de l’auteur s’en vont de la misère du village pour essayer d’avoir de meilleures conditions de vie dans la ville de Barcelone). On poursuit la vie de cette famille qui continue son périple, on se retrouve dans les Alpes, dans les maquis, dans le camp de Mauthausen... On traverse les frontières au même rythme que les personnages... Je conseille ce livre car comme je l'ai dit, il m'a plus sur le plan historique... Bonne lecture!

 

Juliette:

 

         En lisant le résumé de Vincent Borel, j'ai été intéressée par le thème et la dimension biographique du récit. Pourtant en découvrant le livre, je l'ai trouvé plat et n'ai pas été vraiment convaincue par le style adopté. Je trouve tout de même le récit du grand père émouvant et fort bien écrit mais j'ai trouvé que le roman manquait de relief, on finit par s'ennuyer. Les phrases trop longues en rajoutent à cette impression d'ennui. On tourne un peu en rond. Je n'ai donc pas beaucoup apprécié ce livre, quoiqu'il y ait vraiment un bon thème de départ.

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 20:33

 

         

                   Bibliographie:       

  • 2010 : La vie est brève et le désir sans fin
  • 2004 : L'Homme-sœur, Prix du Livre Inter 2004
  • 1998 : Sissy, c'est moi
  • 1994 : Welcome to Paris
  • 1991 : Ludo et compagnie
  • 1987 : La Lenteur de l'avenir
  • 1984 : Le Corps inflammable

 

            La vie est brève et le désir sans fin

 

 

                    La vie est brève et le désir sans fin est un livre sur les affres de l’amour, vues du point de vue masculin. Il met en scène deux hommes, l’un marié, à Paris, l’autre pas, à Londres, tous les deux amoureux de la même femme, assez énigmatique, et qui va de l’un à l’autre. Il y a celui qui hésite, et celui qui attend, tous les deux souffrent.
Comment choisir ? Qui choisir ? Ce roman est l’histoire d’une inépuisable et inéluctable souffrance amoureuse plus forte que tout. Et elle est racontée de l’inimitable manière qu’à Patrick Lapeyre de raconter le monde comme il ne va pas. Petites touches d’une acuité et d’une intelligence qui laissent confondu. Événements apparemment anodins qui ne le sont en fait pas du tout. Poétique de la métaphore, métaphores tellement inattendues et qui sont en réalité rien moins, une à une et peu à peu, qu’une pensée du monde. Humour profondément lucide et humain, généreux. D’où vient, lisant ce livre d’une insondable mélancolie que l’on ne puisse faire autrement que sourire, constamment sourire. Peut-être du bonheur d’avoir été reconnu ?

 

                                                                                Avis

 

               Ludwig: Ce livre m'as plus, oui, la façon dont il écrit les choses, dont il tourne l'histoire est très attachante et compréhensible à cause surement du coté contemporain (complexité et puis l'époque), pour ma pars je l'ai  très vite lu. J'ai noter aussi quelques petites touche amusantes dans le texte comme des mots qui ressortent du texte comme ça, on sait pas d'où ils sortent, on les lit et on rigole. Ce n'est pas une histoire gaie enfin la fin surtout, certe mais c'est une belle histoire quand même. J'ai quand même un "hic" la fin: ce n'est pas les choix diverts qui mon surpris dans la fin de l'histoire mais le faite qu'il ne prépare pas sa chute. Il parle des mondes parallèles comme ça, sans nous prévenir au préalable... il n'en reste pas moi que la fin, troublante, est tout de même appréciable. Un livre qui m'as plus dû à son écriture, son coté contemporain et ces problématique.

 

Agathe : Je dois dire que j'ai eu du mal à "rentrer" dans le livre, en effet je ne comprenais pas grand chose au début de l'histoire, et le fait que l'auteur passe d'un personnage à l'autre ne m'y a pas beaucoup aidée. Mis à part cela, je trouve que le sujet du livre est bon tout comme la façon d'écrire. Les personnages sont attachants et j'ai eu tendance à vouloir les encourager dans leurs relations. Ce que je trouve dommage c'est le fait que l'histoire soit plutôt simple, de ce fait on peut aisément deviner la suite des évènements. C'est un livre que j'ai apprécié.

 

Joséphine : 

Si il y a un livre que je n'ai pas aimé c'est bien celui la. Il m'a beaucoup déçu, je m'était attendu a mieux par rapport au titre poétique qui m'a tout de suite attiré. C'est une histoire sans aucune originalité ni captivante. De même que l'écriture avait l'air fluide mais en fait pas du tout. L'histoire m'a paru sans interêt et n'apportant rien. C'est vrai que la psychologie des personnages est très développées : la souffrance, l'attente, l'amour aussi mais c'est le seul point positif que je garde dans ce livre. Pour conclure ce n'est pas un livre que j'ai apprécié car il ne sucite pas d'axe de reflexion ce qui me plait en général dans les autres livres.

 

 

 

Emilia:  

Un livre charmant, basé sur la vie en générale à notre époque. Une histoire, qui se passe effectivement de nos jours, ce qui la rend plus simple de lecture. Néanmoins, certains passages peuvent être difficiles de compréhension. Ecrit

d'une écriture simple mais profond. Le thème de l'histoire étant tout de même banal, car souvent choisi et employé dans les livres de nombreux auteurs aujourd'hui, celui de l'Amour, ou plus précisément du double Amour, de l'amant ou de la maîtresse, une vie compliquée avec un choix difficile à la sortie, qui s'avère être un que l'on avait pas prévu ou qu'on ne souhaitait pas. Un destin non voulut et déprimant. Mais, la construction étant plutôt bien construite, captivante jusqu'au bout. Malgré une fin décevante à mon goût. Donc, je recommande ce livre, pour les amateurs de romans tragiques et romantiques.

 

 

Perrine : "La vie est brève et le désire sans fin" de Patrick Lapeyre est un roman que j'ai lu sans grande convictions. Je ne peux pas vraiment dire que j'ai aimé ce livre car je trouve l'histoire quelque peu monotone. Elle tourne autour de plusieurs personnages, certes mais cela ne fait pas tout. J'ai comme eu l'impression que l'auteur parle seulement de la surface de la vie des personnages. Il n'entre pas dans les détails. Par exemple, j'aurai voulu en connaître plus sur la femme de Blériot, savoir ce qu'elle pense, connaître sa souffrance...

A contrario, il y a quand même ce côté contemporain de notre époque et moderne dans ce roman. Nous avons plus la possibilitée de nous faire une idée des lieux, des paysages. La lecture de ce récit est légère, claire et compréhensible. Il se lit très vite.

 

Elodie: "La vie est brève et le désir sans fin" est un roman simple de lecture, l'auteur nous raconte une histoire banale, peu être même, un peu trop ordinaire.

Au début de ce roman, j'ai bien accroché. J'aimais bien cette façon de changer de personnages, d'avoir trois points de vue différents sur une même histoire. Mais ne faire que changer les personnages devient vite lassant.

 Le fait de nous faire voyager entre Paris et Londres est aussi, un bon point, car à travers cette lecture, on découvre le coté moderne de notre époque.

Un livre, donc appréciable, mais lassant sur quelques points.

 

Océane: Un livre que je n'ai pas vraiment aimé à cause du trop grand nombre de personnages et du changement de point de vue à chaque chapitre ou presque. L'histoire n'a rien de très captivant et la façon d'écrire est assez étrange. Etrange car elle paraît simple et compliquée à la fois. En effet la structure des phrases est simple, mais Patrick Lapeyre utilise certains mots assez complexes.  De plus, au début de certains chapitres l'auteur nous met dans la peau d'un personnage et parle des autres sans citer de nom ce qui fait que, par moment, je me suis perdue, je ne savais plus de qui il était question. Par ailleurs, la psychologie de certains personnages sont bien définies (Blériot, Nora...) tandis que d'autres ne sont pas plus développées que ça. Comme Joséphine, j'ai été déçue car le titre est accrocheur et diffère des autres par son aspect poétique mais l'histoire est banale, sans grand intérêt.

Malgré tout, je le conseille, non pas pour le récit, mais pour la rapidité de lecture.

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 19:49

Biographie :

Amélie Nothomb née le 13 aout 1967 au Japon, elle grandit dans une famille d'aristocrate belge où la litterature est très présente.Suivie des études de philologie (étude de la linguistique historique) à l'Université de Bruxelle. Vivant entre la Belgique et Paris, elle composa son 1er récit en 1992. Racontant la vie humaine, Amélie fait polémique et de bon succès.

 

 

ses romans et théâtre : 

 

Hygiène de l'assassin, roman, Albin Michel, 1992

Le Sabotage amoureux, roman, Albin Michel, 1993

Les Combustibles, théâtre, Albin Michel, 1994 

Les Catilinaires, roman, Albin Michel, 1995

Péplum, roman, Albin Michel, 1996 

Attentat, roman, Albin Michel, 1997 

Mercure, roman, Albin Michel, 1998 

Stupeur et tremblements, roman, Albin Michel, 1999 

Métaphysique des tubes, roman, Albin Michel, 2000 

Cosmétique de l'ennemi, roman, Albin Michel, 2001 

Robert des noms propres, roman, Albin Michel, 2002

Antéchrista, roman, Albin Michel, 2003 

Biographie de la faim, roman, Albin Michel, 2004 

Acide sulfurique, roman, Albin Michel, 2005 

Journal d'Hirondelle, roman, Albin Michel, 2006 

Ni d'Ève ni d'Adam, roman, Albin Michel, 2007 

Le Fait du prince, roman, Albin Michel, 2008, 

Le Voyage d'Hiver, roman, Albin Michel, 2009.

Une Forme de vie, roman, Albin Michel, 2010

 

 

 

Une forme de vie

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Ce récit raconte, une correspondance entre Amélie Nothomb et un soldat américain nommé Melvin Mapple, en Irak. Melvin étant obèse, vient chercher de la compréhension auprès d' Amélie, qui lui sait qu'elle pourra l'aider. Mais tout ceci va prendre une tournure plutôt inattendue... 

 

      Mon avis : 

 

 

 

« Une forme de vie » est un livre racontant l'histoire d'un correspondant d'Amélie, prénommer Melvin Mapple, soldat américain, qui nous raconte sa vie tout au long de ses lettres.

Le dernier roman d'Amélie Nothomb est un livre où notre avis peut être très partagé.

Court, il est rapide à lire. Mais peut être un peu trop. Le roman serait sûrement un peu mieux si il possédait un peu plus de descriptifs, d'élément sur les états des personnages. Il paraît « enfantin », plus de complexité notamment dans l'écriture ne serait un défaut !

Plus on progresse dans notre lecture, plus on est surpris de sa tournure et plus on rit de l'absurdité. Pourtant même si ce que nous raconte Melvin dans ses lettres nous paraît irréel, nous ne nous tournons pas vers l'idée d'un mensonge. Il est impossible de deviner la tournure de L'histoire, ce qui rend le livre très bon!

L'obésité ? Un sujet plutôt bien trouver qui je pense n'est pas si courant. Intéressant, le point de vue d'une personne obèse, le racisme portée à ces personnes, les avis des personnes extérieure, d'Amélie. Autre sujet ; le mensonge, de lire jusque où une personne peut elle aller dans son mensonge, en a t'elle conscience ou est-elle complétement dedans comme on est dans une vérité, ce que penser la personne qui subit ce mensonge...

 

 

Amélie Nothomb nous parles aussi beaucoup de l'état d'esprit de ses personnages et de la société.

 

 

.

 

Léa Paris.


 

Océane: J'ai beaucoup aimé ce livre, tant par le style d'écrire que par l'histoire en elle-même. La correspondance entre Amélie Nothomb et Melvin est vraiment réaliste et nous montre le mal être des personnes souffrant d'obésité, le regard des autres et leur propre regard sur eux... Certains passages écrit par Melvin sont même émouvants. L'avantage de ce livre est qu'il se lit très rapidement, on ne voit pas les pages défiler. Seule la fin m'a déçue, ce retournement de situation inattendu est très... particulier et je me suis demandé "pourquoi cette fin?". Malgré cela, je vous conseille vraiment de lire ce livre.

 

 

Maïwenn: Pour ma part j'ai adoré ce livre. Dès le début j'ai accroché à cette échange très personel entre Amélie Nothomb et Melvin Mapple. Tout en lisant ce roman Amélie Nothomb se dévoile à ses lecteurs. Quand à la fin du roman, j'ai été vraiment surprise par cette chute mais avec une auteur comme Amélie Nothomb tout peut arriver. En conclusion je recommande vivement ce fabuleux roman.

Morgane : J'ai tout simplement dévoré " Une forme de vie" d'Amélie Nothomb parce que d'une part il est très facile d'accès et d'autre part, l'histoire qui est assez simple reste quand même passionnante. De plus, j'ai apprécié le fait que le lecteur soit convié à cette correspondance entre les deux protagonistes, je veux dire que parfois on peut avoir l'impression que Amélie Nothomb ce confie. Cependant, la fin est pour ma part décevante car je ne m'y attendais pas du tout et je la trouve un peu bâclé. Néanmoins, comme avec " Une année chez les français", je recommande ce livre pour ceux qui voudrait faire une pause dans leur lecture.

 

Guillaume : J'ai adoré ce livre, car il se lit tres tres vite et l'histoire est intéressante et captivante. L'échange de lettres peut etre tres confidentiel en général, mais Amélie Nothomb l'écrit comme si c'est a nous que s'adressait Melvin. Ce roman m'a fait penser a un journal intime où 2 personnes écrivent leur vie. C'est un des roman à ne pas louper dans la liste du prix Goncourt.

Agathe : 

Une écriture simple, un style épuré, des personnages attachants et un bon sujet, voilà une autres petites merveille que nous donne à lire Amélie Nothomb. Après avoir lue les Catilinaires, je ne suis pas déçu de son nouveau roman qui mérite entièrement sa place dans la sélection Goncourt. Des sujet importants y sont abordés, comme l'obésité ou la guerre. C'est un très bon livre, on est absorbé dans l'histoire. La fin est cependant très étrange et inhabituelle, néanmoins je ne crois pas qu'il y aurait pu y avoir une autre fin car l'histoire en serait devenu interminable. Avec ce livre Amélie Nothomb nous montre toute la beauté de la correspondance, et le fait que l'on puisse être déçus de voir son correspondant.

Un livre excellent que je vous invite à lire.

 

 

Perrine : Pour ma part, le roman d'Amélie NOTHOMB m'a vraiment plu. Dès les premières pages, cet échange entre l'auteur et son correspondant Melvin Mapple m'a ému. Nous pouvons sentir une relation forte unir ces deux "amis", tous deux se confient l'un à l'autre d'une certaine manière. L'auteur traîte un sujet délicat, celui de l'obésité et tout de suite, le sentiment de mal-être de Melvin Mapplle nous envahi. Il se met à nu, nous sentons qu'il à vraiment besoin de se confier, d'exterioriser. Même si je suis restée un peu sur ma fin lors de la lecture des dernières pages mon avis reste le même : Amélie NOTHOMB nous aura encore fait partager une très belle oeuvre.

 

Marie : J’ai bien aimé ce livre. Je dois dire que je ne l’ai pas vu se terminer, car une fois dedans, on a du mal à s’en sortir.

Le fait que l’auteur, Amélie Nothomb, se représente elle-même comme la « matière » de ses livres doit y être pour quelque chose.
Idem pour la construction du roman en lui-même. Ce n’est pas un texte du début à la fin. Ce sont des lettres. Ce qui je trouve, donne encore plus envie de lire, de se plonger dans l’univers de cet homme du nom de Melvin Mapple, dont la vie est loin d’être comme les autres.
C’est pourquoi je recommande ce livre, car je trouve que c’est une leçon de vie. Même si la fin renverse toute l’histoire qui avait été construite, je trouve que c’est un bon livre, et qu’il faut le lire.

 

Ghalia:  Je dois dire que j'ai été surprise par cette lecture. "Une forme de vie" d'Amélie Nothomb, est sans doute l'un des romans qui m'a le plus fait sourire, malgré sa noirceur. Je n'ai jamais trop aimé les romans épistolaires, mais je dois reconnaitre que celui-ci était fascinant. Premièrement par les thème proposés qui sont (en généralisant): "la vie d'un soldat en Iraq racontée à travers sa correspondance avec amélie Nothomb", "l'Obésité" qui est le contraste de l'Anorexie dont Nothomb semble avoir souffert. Et deuxièmement, par la dénnonciation de l'armée des USA. Beaucoup de gens ont une image des soldats des USA comme des "Action men" ou encore "GI's Joe", Nothomb casse ces préjugés de "super héroes mourrants pour leur patrie" en faisant parler le personnage de Melvin Maple qui dit à un moment que lui et ses camarades devait changer leur pantalon après les avoir "souillés" en tuant des civils; et d'ajouter plus loin que lui, il essayait d'oublier cette horreur dans la nourriture quand d'autres ne ressentaient rien.

C'est donc pour moi un roman très sympathique, osé parfois, mais qui finalement traite bien des actualités et de ce qu'est l'Homme. La seule chose qui m'a gênée, c'est le fait qu'Amélie Nothomb se représente un peu trop comme quelqu'un d'important dans son livre (c'est un peu pour ça d'ailleurs que j'ai du mal en général avec les romans de Mothomb), mais à part ça, coup de chapeau pour un livre qui me parapit censé.

 

Joséphine

 

Ce livre est le premier de la selection du goncourt lycéen que j'ai lu. Il m'a telllement interessé que je l'ai lu en une après-midi et il m'a vraiment donné envie de lire rapidement les autres livres de la sélection. J'ai aussi beaucoup apprécié le fait que c'est un roman épistolaire qui est une forme de narration que j'aime retrouver dans les romans. Les thèmes sont assez original mis a par la guerre, on ne trouve pas souvent l'obésité comme thème principal d'un livre. L'histoire est captivante jusqu'au bout et j'ai aimé la fin contrairement à l'avis général de la classe. Amélie Nothomb aurai pu s'arreter à la première facette du livre où Marvin Mapple est un soltat de l'armée Américaine mais elle est allée plus loin que ça. Elle dénonce l'obésité des soldats par le stress mais dénonce aussi l'obésité de la population Améraicaine et c'est ce qui fait l'interret de ce livre. Sa façon de se mettre en scène dans le livre en tant qu'écrvain fait croire à la réalité et peut faire penser qu'elle à été réelement en correspondance avec un soltat Américain. J'ai beaucoup réfléchis sur ce thème de l'obésité et je trouve que ce livre dénonce la mentalité des gens en général. En lisant ce livre je compatissait pour Melvin, j'arrivai a comprendre le fait que manger puisse être un bohneur et que son corp devienne une oeuvre d'art. Puis lorsqu'on apprend sa vraie nature et sa vie plutôt misérable on comprend moins, on ne compatit plus on a tendance a penser que c'est de sa faute et qu'il n'a pas à se plaindre. Je pense que c'est ce que Nothomb a voulu faire passer du moins c'est l'idée que cela m'a donné.

 

Gwenn :

 

Ce livre m’a plu car j’aime beaucoup les romans épistolaires, on a l’impression d’une histoire réelle qui s’est réellement passée, on est comme plongé au cœur de l’histoire. La correspondance entre Melvin et Amélie Nothomb est intéressante et parfois émouvante, l’obésité de Melvin est touchante certains détails de son histoire ne m’a a aucun moment fait penser à une chute, a laquelle je ne m’attendait pas.

La chute du roman m’a surprise de part le comportement de l’auteur qui avait décider quelque chose et qui au dernier moment se rétracte.

D’autre part l’année dernière, j’avais lu un autre roman d’Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements qui m’avit moins plu, mais après la lecture du roman Une forme de vie, cela me donne envie de lire d’autres romans du même auteur.

 

 

Marylou :

 

J'ai vraiment apprécié ce livre, il se lit très vite car quand on le commence a on a forcément envie de savoir la suite de cette corespondance! Le faite que ce livre soit épistolaire m'a également beaucoup plus on se sent vraiment dans le livre, on a l'impression que cette une histoire réelle que cette correspondance est vraiment arrivé car sans en faire trop Amélis nothomb nous entraine vraiment  dedans grace à son style d'écriture. Cependant la fin m'a laissé perplexe ainsi que la chute, la fin je l'ai trouvé un peu baclé on se demande vraiment se qui va se passer se que personnelement je n'apprécie pas du tout. La chute c'est sur qu'on ne s'y attend pas du tout cependant je trouve que sa enlève un peu le "truc" qui fait qu'on y croit vraiment. Enfin malgré tout j'ai quand même trouvé quelque passage bidon, ininteressant comme par exemple comme il parle de "Shéhérazade" je n'ai pas du tout compris la similitude. Je conseil se romain quand même car c'est une belle histoire.

 

 

Camille : Un très bon livre que je conseille vivement. Facile d'accès, rapide à lire, il m'a énormément plu de part son genre épistolaire, tout en étant émaillé de passages narratifs qui permettent de souffler au milieu de toutes ces lettres. La relation que partage Amélie Nothomb avec Melvin Mapple est très douce, faite de confidences et de compréhension, et l'intégralité de ce roman est criant de vérité ; les détails de la guerre en Irak, le mal-être de Melvin, ce réconfort qu'il cherche auprès d'Amélie Nothomb, tout fait en sorte de nous pousser à finir ce livre. Seul bémol sans doute, cette fin qui nous laisse totalement ahuris, qui donne envie d'avoir autre chose derrière. Mais d'un certain point de vue, peut-être qu'il se devait de finir comme ça...

 

Ludwig: Certes ce n'est pas une histoire passionnante en soit. L'intrigue se base sur un fait qui pourrait être vraiment interessant mais qui, en le découvrant, fait perdre tout le charme au récit. Et la chute, n'en parlons même pas... Que s'est-il donc passé dans la tête d'Amélie Nothomb? On se le demande... J'avoue ne pas avoir compris. Peut être essayait-elle de perturbé le lecteur, remarquons que cela fait parler d'elle, une fin aussi... farfelu... Enfin tout ça c'est le coté négatif, mais quand on regarde son style à Amélie Nothomb on s'apperçoit reelement qu'elle possède un style bien particulier et très bon. J'ai beaucoup apprécier ses phrases relativements simples mais leurs tournures et leur formes étaient faites de telle manière qu'on aime lire cette histoire même si elle n'est pas passionnante. Amelie Nothomb a su donner vie à une histoire pittoresque et ça, c'est fort.

 

Elodie: 

"Une forme de vie", est un livre qui m'a plu. Un livre vraiment intéressant, simple et rapide de lecture. On accroche tout de suite, c'est le seul livre de la sélection épistolaire, Je voulais vraiment le lire. N'ayant entendu que des bonnes critiques sur ce dernier. Je n'ai pas été dessus. 

Le seul problème, est qu'a la fin de ce livre, on a pas vraiment l'impression d'avoir appris quelque chose, j'ai eu quelques questions qui sont resté sans réponse.

Malgrés ce petit point négatif, je conseille vraiment ce livre.

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 14:35

Biographie: 


 Né à Oujda (Maroc) en 1958, est un écrivain, poète et économiste vivant à Amsterdam. Ses livres, en français, connaissent un grand succès au Maroc grâce à sa façon de se moquer des blocages et des pesanteurs de la société marocaine avec humour et sans discours politique explicite.Ses oeuvres font partie, généralement, des meilleures ventes au Maroc.

 

 

 

Quelques oeuvres:

 

-Les dents du topographe (Julliard, 1996) : La chronique d'un jeune au Maroc, un récit qui marque le refus de l'ordre établi et un sentiment de détachement pour sa patrie. (A remporté le prix découverte Albert Camus)

 

-De quel amour blessé (Julliard, 1998) : L'histoire d'un amour impossible entre un maghrébin de Paris et la fille d'un juif. (A remporté le prix méditerranée des Lycéens, prix Radio-Beur FM)

 

-Méfiez-vous des parachutistes (Julliard, 1999) : Un portrait comique de la société marocaine à travers la vie de deux personnages loufoques.

 

-Le Maboul (Julliard, 2000) : Recueil de nouvelles qui sont autant de satires de la société marocaine.

 

- Tu n'as rien compris à Hassan II (Julliard, 2004) : Recueil de nouvelles

 

-Une année chez les Fançais (Julliard, 2010) : L'histoire d'un petit marocain, Medhi, allant au lycée français Lyautey de Casablanca (Maroc) (Séléction Goncourt 2010)

 Source : http://bibliomonde.com/auteur/fouad-laroui-89.html

Résumé : 

En 1969, Medhi un jeune garçon, attaque sa rentrée au collège, mais pas n'importe quel collège, il s'agit du lycée Lyautey, le lycée français de Casablanca. Medhi, issu d'une famille marocaine très pauvre, s'est vu octroyer une bourse pour pouvoir poursuivre des études supérieures. Le jeune garçon se retrouve alors perdu dans ce grand lycée, aux manières si étranges. Entre amour, amitié et respect, Fouad Laroui nous livre une vraie petite merveille qui nous fait rire et sourire au gré des aventures et des incompréhensions de Medhi, à qui, on ne peut pas s'empêcher de s'attacher.


      plus d'informations suivrons dans les prochaines semaines...

Avis

Agathe : 

un livre vraiment touchant que je conseille à tous ceux qui veulent faire une pose dans leur lecture. On vit au rythme du personnage principal, qui, même si son histoire n'est pas palpitante, nous fait sourire. Les personnages y sont attachants et bien décrits. Les erreurs que commet parfois Medhi et ses prises de paroles involontaires sont souvent cocasses. 

Bref, un vrai petit bonheur =)

 


Ludwig: Une année chez les Français est un livre sans vraiment grand interret a pars qu'il "relax". C'est vrai l'histoire est sympatique mais je sors de ce livre en me disant "Bon on passe à quoi?". Une petite histoire qui pousse le lecteur a le lire que parcequ'il repose. J'avou que je ne l'ai pas apprécier. Au niveau de l'écriture j'ai trouver que l'auteur a bien jouer le faire d'introduire les imaginations du petit Medhi qui nous font sourire. Il est plaisant a lire, assez rapide. Une bonne écriture mais une histoire pas vraiment interressante ou plutot divertissante.

 

Morgane Pr: Une année chez les français est un livre qui m'a fait sourire parce que Mehdi est un enfant qui se retrouve dans un endroit q'il ne côtoie pas d'habitude et il peut parfois avoir une vision des choses qui peut faire rire ce qui rend ce personnage très attachant. Il est vrai, que l'histoire en elle-même n'a pas grand intérêt mais c'est une lecture plaisante et simple à lire. Je vous le conseille si vous voulez faire un break dans vos lecture.

 

Joséphine :

  Une histoire exelente qui nous transporte dans l'aventure de Mehdi et dans sa découverte des francais. C'est le seul livre de la selection où on rit de l'histoire et on on passe vraiment un bon moment graçe aux maladresses et aux incompréhension du petit héro. On se met à sa place et on re-découvre avec lui les cultures, la nourriture et toutes ces choses qui nous parraissent normales a nos yeux. L'auteur a tellement développé les émotions et les sensations de Mehdi qu'on pourrai croire que cela lui est déja arrivé. L'histoire est captivante jusqu'a la fin et bien pensée, c'est un livre qui permet vraiment de faire une pause dans sa lecture, je le recommande grandement.

 

Océane:   Une année chez les Français est un livre vraiment sympathique à lire: une histoire et une écriture très simples. L'innocence de Mehdi, qui découvre les français, et son imagination débordante font sourire voire rire. On découvre que certaines choses qui peuvent nous paraître évidentes ne le sont pas forcément pour une personne issue d'une culture différente.La façon qu'a Mehdi d'interpréter les paroles ou les gestes des autres est amusante et cela le rend attachant. Même si le récit n'est pas exceptionnel, il nous offre une pause divertissante dans nos lectures ce qui change des autres livres de la séléction Goncourt qui abordent (pour la plupart) des sujets graves.

Je conseille vivement ce roman à tout le monde !!!  

 

Edouard:  "Une année chez les francais" est un livre divertissant et attractif. Ce n'est pas un livre compliqué à lire et l'auteur ne l'a pas écrit de façon difficile. Ce qui ne le rend pas dur de lecture, c'est peut être le fait que l'auteur ne s'est pas attardé à décrire tout l'univers dans lequel "baigne" le petit Medhi.  C'est un livre que j'ai adoré ; l'auteur nous fait vraiment entrer dans la peau du personnage principal et nous fait découvrir sa vie au quotidien, en nous distrayant par des réactions plus ou moins créatives, et des plus lufoques. Ce jeune personnage a une vision de son entourage assez plaisante/humoristique.

J'ai beaucoup apprécié ce livre, cependant l'auteur ne s'est pas demené à construire/réaliser une fin merveilleuse.

 

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 21:49

                                                                                                                           

                                                 kt c Rudy Waks

 

L'auteur : 

Karine TUIL est née le 3 mai 1972 à Paris. Elle entreprend des études de droit qui l'emmèneront à l'Université de Paris II où elle obtient un DEA de droit de la communication et Sciences de l'info. 


Ses oeuvres :

C'est en 2000 que le premier roman de Karine TUIL est sorti. Par la suite, sept autres romans suivront puis une pièce de théâtre et un scénario ( adaptation cinématographique de son roman "Quand j'étais drôle". Karine TUIL insère différents sujet dans ses livres mais toujours en quête de l'identité humaine excepté ses deux derniers romans qui traitent  de la domination de l'homme sur l'un de ses condisciples. 

2000 : Pour le pire 

 . 2001 : Interdit, il a reçu le prix Wizo

. 2002 : Du sexe féminin

. 2003 : Tout sur mon frère

. 2005 : Quand j'étais drôle

. 2007 : Douce France 

. 2008 : La domination

. 2010 : Six mois,six jours, il a reçu le prix Interallié

 

                                      

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Six mois, six jours



                          

«  Dans l'anonymat d'une chambre d'hôtel, l'une des femmes les plus puissantes d'Allemagne se donna à un homme dont elle elle ne savait rien » Voilà un pasage qui résume l'histoire de cette riche industrielle allemande, Juliana Kant qui se livrera corps et âme, sans aucun doute dans les bras de celui qui la détruira et détèrera le plus lourd secret de sa famille.

«  Derrière chaque grande fortune se cache un grand crime », c'est la vengeance qui poussera cette homme à faire éclater la vérité, la famille Kant est impliquée dans se que l'on qualifierai du plus grand crime contre l'humanité. Il est vrai qu'ils ont été disculpé mais chaque membre de la famille Kant héritera de cette honte qui restera à jamais une tâche indélébile dans les mémoires des victimes et des criminels.

                                         

                                                                

     Les prolongements :

 

> La domination La domination est un sujet auquel s’intéresse Karine TUIL, d'ailleurs on peut le constater rien qu'en regardant le roman précédent qui a pour nom " La domination ". Encore une fois, l'écrivain introduit ce sujet dans son roman " Six moi, six jours" puisque l'on peut remarquer que ses personnages peuvent être à la fois dominés et dominants comme Juliana qui domine par sa fortune mais elle est dominée par Braun. Cependant lui-même est dominé par ce sentiment de vengeance qui le dévore. Ou encore, Magda Goebbles qui a dominé Gunther Kant mais était elle était dominée par son mari l'officier Goebbles jusqu'à aller se suicider. Quant à Karl Fritz, il a était dominé par cette famille Kant pendant des années mais il a été viré. Sauf que, involontairement il est devenu le maître du jeu car durant ses années de fonctions, il a emmagasiné les secrets de tous les membres de la famille donc il pouvait facilement détruire les Kant avec ce qu'il savait. C'est donc à ce moment qu'il devient dominant.

Comme quoi, tout le monde domine quelqu'un dans des domaines où d'autres sont plus faibles. De plus, chacun domine aussi ses sentiments. Pour finir, on est tous dominant et dominé; heureusement car si il y avait d'un côté les dominants et les dominés cela serait comme avoir les bons et les méchants, on n'aurait pas le droit d'avoir une personnalité unique, on serait rangé dans des boîtes avec des limites bien définies. Un des buts de la vie n'est-il pas d'apprendre à se connaître au fil des jours, des mois et des années avec nos bons et nos mauvais côtés ? 

> L'avancée du nazisme et la création des camps de concentration :

 

"Début 1921 Hitler s'impose comme président du parti ouvrier allemand national-socialiste (NSDAP) avec des pouvoirs illimités. Le parti s'organise et Hitler s'entoure d'hommes qui vont l'aider à conquérir le pouvoir. Il noue aussi des relations avec de riches industriels qui financent le partis."

Cette dernière phrase résume en quelques mots l'histoire de 6 mois, 6 jours. Dans le livre lorsque Fritz raconte le passé de la famille Kant on croise Hitler pendant quelques pages. Pour prendre comme exemple le mariage de Magda, Hitler y est le témoin et dans ce passage on a ses projets de collaboration avec Günter Kant. Fritz dans son récit le qualifie d' "allié idéal" pour Hitler, il veut pouvoir l'utiliser pour se fournir en armes et en uniformes. Ce passage est très fort car c'est vraiment le début de la face cachée et noire de l'histoire des Kant en tant que Nazis.

Au même endroit on découvre aussi les projets d'Hitler de supprimer toute une population et donc le moyen de parvenir à ses fin avec les camps de concentration. Cet autre moment fort est le début ici aussi de l'aventure de Juliana et Braun. C'est donc le début de la création même du roman et la cause de tout ce qui s'est passé entre eux

> Vous avez aimé ? Alors vous aimerez peut-être :.

 

  • Vincent Borel avec Antoine et Isabelle qui raconte aussi l'histoire d'industriels dans la guerre.

  • Maylis de Kerangal avec Naissance d'un pont roman écrit aussi à travers un personnage omniscient.

  • Paul Colize avec La Troisième Vague roman judiciaire écrit à partir de faits réels.

  • Emile Gaboriau avec L'affaire Lerouge roman judiciaire écrit à partir de faits réels.

  • Marc DUGUAIN avec L'insomnie des étoiles qui traite de la fin de la seconde guerre mondiale.

  

Morgane Pr & Joséphine

 

 

> Les avis :

Joséphine

6 mois 6 jours est un des livres que j'ai particulièrement aimé et lu très rapidement car l'histoire se déroule à notre époque mais qui revient en arrière à la période de la seconde Guerre Mondiale, periode que j'aime beaucoup étudier. Tout d'abord le point de vue est interessant car il est interne à la famille Kant qui est concernée a cette affaire, de plus j'ai trouvé l'histoire vraiment bonne du fait qu'elle est captivante jusqu'à la fin. Ce roman m'a plus également car il fait appel aux sentiments du lecteur aussi bien positifs que négatifs. Certains passages m'ont aussi choqué par exemple Hitler témoin au mariage de Magda ainsi que le fait qu'elle renie totalement ses parents et sa religion pour se marier avec un nazi. Je trouve que Karine Tuil a vraiment bien travaillé pour ses personnages, on a les sentiments de Juliana qui sont très développés et précis.

Je vous conseille de le lire sans hésiter c'est un livre remarquable !


 Ludwig: L'écriture est plaisante, c'est vrai. Le dialogue entre l'écrivain et le personnage qui raconte est vraiment amusant Je noterais une bonne fin aussi mais pour le reste j'avoue que l'hisoire n'est pas vraiment passionnante, pas vraiment d'émotions, les moments forts sont mal écrits et je n'ai pas vraiment trouver la trame attirante.On reste sur des descriptions assez succinctes. Le fait  que ce soit une histoire vrai donne un point en plus bien que cela a du être difficile pour l'auteur. Le personnage qui raconte (je ne me souviens plus de son nom) est en fait , je trouve, le personnage le plus interressant du livre et lui donne sa touche d'originalité.

 

Morgane Pr :

Six mois, six jours est le livre qui me plaît le plus pour l'instant parmis ceux que j'ai lu, je suis rentré dedans très facilement est cela est dû à la manière très simple dont l'auteur a écrit tourné ses phrases et la façon qu'elle adopte pour améner le sujet de son récit qui dans un premier temps est l'abandon de Juliana au profit de Karl Braun puis cet adultère entraînera la révélation du secret de la famille Kant. De plus, je trouve que le fait qu'elle a une approche très progressive nous laisse le temps de nous rendre compte du poids de ce secret sur la famille et les dégât que cela à causer. Ensuite, étant donné que j'apprécie beaucoup les histoires vraies on peut dire que ce coup-ci j'ai été servi ! En effet, tout dans ce roman est vrai ormis le narrateur qui a été inventé de toute pièce par Karine TUIL et il à un rôle essentiel dans le récit puisque c'est à travers ses yeux que l'on « vit » l'histoire de Juliana mais pour ma part, ce personnage de Karl Fritz est très interresant car il nous permet de ne pas nous ennuyer parce que la réalité est parfois très ennuyante et on aurait l'impression de lire le journal. En plus, j'aime les sujets historique et notemment la Seconde Guerre Mondiale qui est une période de l'Histoire qui m'intéresse. Par ailleurs, dans la sélection Goncourt, plusierus livres traitent différents moments de la Seonde Guerre Mondial comme L'insomnie des étoiles de Marc DUGUAIN qui traite de la reconstruction de l'Allemagne parès la chute du nazisme il y aussi Antoine et Isabelle de Vincent Borel qui lui aussi semble parler de la construction des camps par de riches industrielles. Enfin, pour ce qui est de l'émotion, c'est le point noir de cette histoire car il m'a parut assez froid et même assez négatif puisque il n'y a aucun moment heureux , on ne ressent que rancoeur, amertume et désillusion, C'est sans doute un choix de l'auteur, la réalité parfois n'a rien de joyeux, Pour finir, je vous recommande fortement de lire Six moi, six jours qui est un livre que je qualifierai de stupéfiant !

 

 Agathe : 

Un livre vraiment intéressant et qui plus est, très bien raconté. J'ai eu beaucoup de mal avec le premier chapitre, où beaucoup de personnages sont apparue, de plus je n'arrivais pas à suivre le récit avec les interruption du narrateur, qui parle à le fois de son histoire et à son éditrice ( ? ). Mais après avoir adopté ce mode de narration, j'ai dévoré ce livre. L'histoire est intéressante et les personnage bien décrit. Le dernier chapitre qui raconte l'histoire du père de Magda est vraiment excellente. Contrairement à Morgane et Ludwig, je trouve que l'histoire ne manque pas d'émotion ! En effet, cette émotion n'est pas exprimé clairement et c'est ce qui donne, à mon sens, toute la beauté de l'histoire. Les phrase longues ne m'ont pas gêné, je trouve justement, qu'elles prouvaient l'émotion de Karl et son désir de raconter.

Ce livre est, pour moi, un des meilleurs de cette sélection. 

 

 

Océane:   Six mois, six jours est, pour le moment, le roman que j'ai préféré. Au début de ma lecture j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans car le narrateur parle puis, d'un coup, sort une phrase qui n'a strictement rien à voir ce qui est déstabilisant car on se demande ce qu'elle fait ici. Mais une fois la façon de raconter comprise, ce livre se lit tout seul. La superposition de deux histoires à deux époques différentes, mais qui, finalement se complètent est vraiment appréciable. De plus, en apprenant le passé de la famille Kant on comprend petit à petit leur présent. Les personnages sont très bien décrits et leur psychologie est bien définie. Le choix de la seconde guerre mondiale est très intéressant car c'est une riche période. Elle nous permet de voir le changement de mentalité de quelques-uns, pour accéder au pouvoir (par exemple Madga Goebbels qui accepte de renier père et religion pour des idéaux contraires à sa façon de penser). Le point de vue du père de Madga à la fin du récit est touchant car on comprend la souffrance qu'a ressenti ce père après la "disparition" de sa fille même si ce n'est pas dit explicitement.

Par ailleurs, au moment où Braun explique son geste par rapport à Juliana, on éprouve presque de la pitié pour cet homme, qui ne veut, aparemment, que venger son père. Mais dès que Karl Fritz s'en mêle, il nous fait douter et on ne sais plus vraiment quoi penser : Braun dit-il la vérité?

Pour finir, tout comme Morgane et Ludwig, j'ai trouvé le fait que ce soit une histoire vraie réellement passionant.

Je vous conseille vivement cette petite merveille littéraire !

 

Marylou: Au départ ce livre me laisser perplexe car on en avait finalement peu parler finalement grâce a un bref résumer fait en classe, je me suis dit pourquoi pas. Je n'ai vraiment pas été déçus, j'ai adoré ce livre, On est directement absorbé dans l'histoire on veut toujours en connaitre un peu plus sur cette famille. L'histoire est vraiment passionnante de plus elle se  base sur des faits réelle qui rend l'histoire encore plus interessante. L'auteur malgré c'est phrase a des moment un peu longue, a bien su nous faire rentré dans l'histoire, les personnage sont bien décrit autant phisiquement que psycologiquement qui fait qu'on décripte mieux certaine de leur réaction. Les chapitres sont assez court qui rend la lecture plus facile, ainsi que les morceau d'interview qui sont a chaque début de chapitre montre le contrastre entre leur vrai personnalité et celle qu'ils veulent montré.

 

                 Les avis sont à suivre. 


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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 20:50

L’auteur

 

Michel Houellebeck de son vrai nom Michel Thomas, est né le 26 février 1958 (acte de naissance) ou en 1956 à la réunion. 

Il a une sulfureuse réputation internationale de provocateur surtout  grade a ses ouvrages Les particules élémentaires et Plateforme.

 

 

                                                                

 

 

 

 

 

Ses romans

  • H.P. Lovecraft. Contre le monde, contre la vie, éditions du Rocher (1991)
  • Rester vivant, méthode, La Différence (1991)
  • La Poursuite du bonheur, poèmes, La Différence (1992), lauréat du Prix Tristan Tzara
  • Extension du domaine de la lutte, roman, Maurice Nadeau (1994)
  • La Peau, poèmes, livre d'artiste avec Sarah Wiame (six cent quatre-vingts exemplaires, mai 1995)
  • La Ville, poèmes, livre d'artiste avec Sarah Wiame (vingt-cinq exemplaires, janvier 1996)
  • Le Sens du combat, poèmes, Flammarion (1996), lauréat du Prix de Flore
  • Rester vivant et La Poursuite du bonheur, réédition remaniée en un volume, Flammarion (1997)
  • Interventions, recueil d'articles, Flammarion (1998)
  • Les Particules élémentaires, roman (prix Novembre) Flammarion (1998)
  • Renaissance, poèmes, Flammarion (1999)
  • Lanzarote, récit, Flammarion (2000)
  • Poésies, poèmes, J'ai lu (2000)
  • Plateforme, roman, Flammarion (2001)
  • La Possibilité d'une île, roman (prix Interallié), Fayard (2005)
  • Ennemis publics, Flammarion Grasset (2008) (correspondance entre Michel Houellebecq et Bernard-Henri Levy)
  • Interventions 2, recueil d'articles, Flammarion (2009)
  • La Carte et le Territoire, Flammarion (2010)

 

Source : Wikipédia

 

  Le livre :

      Jed Martin est un ancien élève des Beaux-Arts orienté dans la photographie. Lors du vernissage de son exposition consacrée aux photos de cartes Michelin, il rencontre Olga, une Russe, dont il devient très vite amoureux.

A sa deuxième exposition, Jed peint des portraits de métiers. Grâce à ses tableaux, il devient connu et demande à l'écrivain Michel Houellebecq de lui écrire sa préface.

Peu à peu, ils deviennent amis.

Dans la 3ème partie du livre, Houellebecq est retrouvé assassiné... Jed aidera les enquêteurs à retrouver le criminel.


Critique du livre

 

Le livre de Michel Houellebecq est un livre qui parle de notre société de consommation et de la bourgeoisie Parisienne.

En contradiction avec ce sujet, il crée un personnage: Jed Martin, artiste qui vit dans la solitude, ne se consacrant qu'à la photo.

J'ai aimé ce personnage que Houellebecq met en opposition avec tous les autres personnages du roman, comme Jean Pierre Pernaut, Beigbeder ...

Quand j'ai vu le passage où Jed fait appel à Michel Houellebecq pour sa préface de catalogue d'exposition, je me suis dis qu'il allait faire son éloge, mais en réalité, il raconte ce qu'il est vraiment : un homme seul qui vit dans l'ombre.
J'ai apprécié ce livre, même si desfois on s'ennuit quand il nous décrit les notices ou alors certains objets. Mais dans l'ensemble il m'a plu. Une vraie histoire coupée en 3 parties qui retrace différentes partie de la vie de Jed.

Pour l'instant, dans le prix Goncourt, "La carte et le territoire" reste mon coup de coeur.

 

Marie et Guillaume

 

 

 

Aga the : 

 j'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre, il y a trop de descriptions à mon goût qui ne serve pas à grans chose ( le passage sur les eaux minérales dans le chapitre 2 de la 2eme partie m'a marqué ). Néanmoins, la partie 3 est intéressante et soulève des interrogations. Moi qui n'avais jamais lu de Houellebecq jusque là, je ne recommencerais pas pour mon plaisir. Je m'attendais à beaucoup mieux en prenant ce livre...

 

Louise :

 

Le Livre de Michel Houellebecq, « La carte et le territoire », est consitué de trois parties, qui sont toutes différentes les unes des autres. Ce livre retrace l'hsitoire du personnage principal (durant les deux premières parties) Jed Martin. Un artiste un peu « raté », sans ambition, ni prétention, qui ne prend rien à coeur au debut du récit mais qui s'affirme au fur et à mesure qu'il vieillit. Il obtient alors une grande notoriété, dans le milieu de l'art, et devient alors un personnage beaucoup moins superficiel qu'au départ. On ne le considère plus, comme un homme sans convictions mais alors comme un homme passioné. La contradiction qu'il existe entre le début et « la fin » de l'historire est grande sur ce personnage, car il change dans l'esprit du lecteur, tout au long de sa « vie ». Il existe alors une forte comparaison à la vie d'un artiste. Il est cité dans le livre, qu'il est très dur pour un artiste de ce « recycler » car les critiques attendent au tournant les artistes. Et il est aussi question, de la vie de Jed et que lui à changer au fur et a mesure de sa vie, sans pourtant l'avoir « raté ».

Le livre m'as vraiment beaucoup plu, c'est un style très particulier que nous propose l'auteur, entre notices d'objets, comme un appareil photo, tiré de wikipédia ou encore la notice d'une voiture Audi. Il existent, une réel hsitoire, qui débouche sur un roman « policier ». j'ai également beaucoups aimé les passages, sur Jean-Pierre Pernault. L'éloge que l'auteur fait de ce journaliste, est tellement fort, qu'il en paraît alors ironique. (Même si Houellebecq, a contredit ce qu'appelait les médias; un acharnement !)

 

Gwenn :

 

 

C’est le premier livre que j’ai lu mais il m’a vite donné envie de passer à autre chose.

Car j’ai eu beaucoup de mal a rentré dans l’histoire, a vrai dire je n’y suis rentrée qu’a partir de la troisième partie dans laquelle cette fois ce n’est plus Jed qui parle mais un policier. L’auteur met en scène sa mort, j’ai trouvé que c’était la seule grande action du roman dans lequel il n’y a que très peu d’action et beaucoup de description.

J’ai trouvé ce livre plutôt ennuyant en fin de compte.

 

Léa:


Je jugerais « la carte et le territoire » avec de mot très opposé ; ennuyant et intéressant, de mon point de vu. Les deux sont valable pour ce livre. Autant les passages peuvent être captivant, comme pour la description de la scène du meurtre, la rencontre du personnage principal avec des personnes clef de l'histoire. D'autre peuvent être très ennuyant et difficile a lire, comme lorsque l'écrivain utilise un page entière pour nous dire quel bouteille d'eau le personnage principale va choisir à boire. Il faut enfin de compte, lire attentivement , voir relire, pour apprécier et surtout comprendre le double sens de son texte, surtout les passages qui peuvent être ennuyant ou banale, puis que enfin de compte, le livre de Houlbecque, en totalité une critique plutôt cynique de la société actuelle.  

 

 

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 19:33

 

virginie despentes king kong theorie2-copie-1

L'auteur

 

Virginie Despentes est née le 13 juin à Nancy. Cette écrivain, a "testé" tous les metiers (femmes de ménage, pigiste pour des journaux rock,...)

 

      Elle est l'auteur d'ouvrages sulfureux, elle dénonce un monde mailsain.

 

 

Ses oeuvres

1993: "Baise moi"

1996: "C'est dehors; c'est la nuit"

1998: "Les jolies choses"

1999: "Mondres au travers"

2002: "Trois étoiles"

2002: "Ton spirit"

2004: "Bye bye Blondie"

2006: "King kong théorie"

2010: "Apocalypse Bébé"

 

Plusieurs films, sont adaptés a partir de ses écrits (Textes, chansons, films...)

      Elodie et Marylou

 

Résumé

 

Valentine jeune adolescente nymphomane et droguée, fait une fugue. Lucie, une femme d'une quarantaine d'années sans trop d'ambition, détective depuis quelques années est embauchée pour l'enquête et demande de l'aide à la Hyene, renommée dans ce milieu. Une amitié se forge malgré une différence de caractère. Entre Paris et ensuite Barcelone l'enquête va concrétisée au fil du roman.

 

 

Avis: 

 

J'ai vraiment adoré "Apocalypse bébé"! L'histoire on ne s'en lasse pas on a toujours envie de connaitre la suite, l'enquête a une grande place mais il y a pas mal de sujet aborder en parallèle. J'ai vraiment aimer la façon que l'auteur a d'écrire ça change des romans classique un language un peu vulgaire certe mais qui colle aux personnages. Je recommade vraiment ce livre.

Marylou

 

Laura :

 

Apocalypse Bébé est un livre que je n'ai pas vraiment apprécié. Malgré le fait que le theme abordé soit très accrocheur (la disparition du jeune fille, Valentine), le langage utilisé dans le récit m'a déplu. Il s'agit en effet d'un registre de langue familier voire même parfois vulgaire. Quant aux personnages, ils m'ont eux aussi déplu, notamment l'héroïne, qui, dans son comportement et sa manière d'être m'a paru "décalée".

 

Charles :

Le déroulement de l'histoire est intéressant : deux enquêtrices très différentes, présentation de personnages et de leur personnalité et suivi d'une enquête concernant la disparition d'une adolescente nymphomane et droguée. Le tout à travers un jonglage entre différents registres de langue (entre courant et familier). L'auteur nous montre ainsi, à travers des faits - plutôt extrêmes et exagérés -, l'adolescence d'une nouvelle génération. Une histoire très intéressante, avec assez d'action pour nous y accrocher, et une fin plutôt ... explosive !

 

Elodie:

"Apocalypse Bébé" de Virginie Despentes est un livre que j'ai vraiment apprécié. Dans ce livre, j'ai quasiment tout aimé. Cette façon d'écrire et le langage familier qu'utilise l'auteur, fait que l'on se sent plus près des personnages. Virginie Despentes nous fait voyager entre Paris et Barcelone à travers une enquête, vraiment intrigante (La disparition d'une adolescente nymphomane et droguée).

Le seul point négatif qui ressort, est la fin du livre. Les dix dernières sont les plus longues a lire. Je trouve qu'il y a vraiment trop de description. C'est quand même dommage de finir sur un point négatif pour un si bon livre.

 

Camille : Un très bon livre, il n'y a pas à dire. On s'attache facilement à Lucie, cette détective totalement décalée et assez bizarre, de même qu'à la Hyène, même si on a assez peu de renseignements sur elle finalement. Le registre de langue familier est assez surprenant mais plutôt agréable, ça change de ce qu'on a l'habitude de lire. L'histoire en elle-même est intéressante, on se demande ce qui a pu passer dans la tête de Valentine, et cette fin... explosive est un simple régal. Bref, à lire.

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 19:04

I/ L'auteur

 

a) Biographie

 

Maylis de Kerangal est née le 16 juin 1967 à Toulon et a grandit au Havre.

Elle a d’abord été éditrice pour les éditions du Baron Perché, avant de travailler pour Pierre Marchand pour les Guides Gallimard et pour la jeunesse.

Elle a participer à la rentrée littéraire en 2008 avec son nouveau roman, Corniche Kennedy (Un roman sur la jeunesse Marseillaise).

Découverte Dans les rapides puis aperçue sur la Corniche Kennedy, Maylis de Kerangal monte en puissance avec Naissance d'un pont.



Elle a publié deux romans aux éditions Verticales, Je marche sous un ciel de traîne  (2000) et La Vie voyageuse (2003), ainsi qu'un recueil de nouvelles très remarqué, Ni fleurs, ni couronnes . Elle a collaboré avec le collectif Inculte pour l'ouvrage Une Chic Fille.


En 2010, son roman Naissance d'un pont
est retenu dans les sélections du Prix Goncourt et du Prix de Flore. Il a remporté le prix Médicis 2010.





b) Bibliographie



    Ses romans :



  • Son roman «Naissance d’un pont» est retenu dans les sélections du Prix Goucourt 2010 et du prix de Flore.

  • Je marche sous un ciel de traîne -(2000),

  • La Vie Voyageuse - (2003)

  • Ni fleur ni couronne- (2006)

  • Dans les rapides - (2007)

  • Corniche Kennedy- (2008)   

 

 

 

 

 Elle a également fait des collaborations pour des romans comme :

 

Avec les Incultes: Une chic fille - (2008).Avec François Bégaudeau, Xavier de La Porte, Arno Bertina, etc. Le sport par les gestes - (2007)


 

II/ Le livre

 



a) Résumé



Cette histoire se passe en Californie, dans la ville de Coca située entre un fleuve et une forêt jumelée avec Dubaï. Le maire John Johnson appelé le Boa veut sortir la ville de « l'anonymat provincial où elle sommeillait tranquille pour la convertir à l'économie mondiale, en faire la cité du troisième millénaire, polyphonique et omnivore, dopée à la nouveauté » il décide donc de faire construire un pont autoroutier gigantesque; « Chantier à 3 milliards de dol » ce qui entraine un désaccord entre les différentes cultures de Coca. Des hommes et des femmes venus des quatre coins du monde se pressent pour participer à cette gigantesque construction, pour nombre d'individu ceci est plutôt une aubaine, néanmoins ils seront obligés de cohabiter et de coopérer ensemble.

 

 b) Précisions



Dans le New-York Times le 15 aout 2007, faisait état de la construction d'un pont dans la cité imaginaire de Coca en Californie. On sait donc que l'histoire se déroule en 2007 (le chantier durera un an.)



On retient notamment trois personnages dont la vie privée et leurs rôles sur le chantier nous sera dévoilés, parmi eux se trouve :

  • Summer Diamantis : Française chargée des bétons

  • Mo Yun : Mineur chinois

  • Sanche Alphonse Cameron : Grutier



Au fil du roman se mêleront menace de grève, contestations écologiques, sabotages, accidents, plans de carrières et rencontres amoureuses ...

 

 

III/ Avis

 

 a) Avis personnels



Maïwenn:

Malgré un début très prometteur, au fil du roman je me suis vite lassée. Pour moi la description et la vie des personnages n'est pas assez poussée, il y a un manque de rebondissement; ce qui emmène le lecteur a l'ennui. J'ai même plusieurs fois eu l'envie de laisser le livre tellement sa n'en finissait pas. J'ai prit mon courage et finit le roman, ce qui m'a prit pas mal de temps. En conclusion, Naissance d'un pont est un livre avec de rare actions, que je recommande pour ceux qui ne savent vraiment pas quoi faire.



Gwenn:

Je n’ai pas trouvé ce livre intéressant et très plaisant à lire. Il faut dire que personne dans la classe n’a pour le moment aimé ce livre, ce qui ne m’a pas donné grand enthousiasme à le lire. Malgré tout je me suis dit qu’il fallait que je m’accroche, que peut-être aurais-je aimé ce livre. Au départ je l’ai trouvé plaisant et intéressant et puis au final j’ai décroché, j’avoue même avoir sauté quelles pages puisqu’il a beaucoup trop de description (parfois des chapitres entier), les vies des personnes travaillant sur le pont est la seule chose que j’ai trouvé intéressante à lire et encore... elles n’amènent a rien. Un moment donné on nous parle de Jacob, un indien, j’ai trouvé que son histoire et son action n’avaient pas grand intérêt puisque l’auteur ne l’a pas développé, elle aurait peut-être pu être abordé et développer d’une autre manière



b) Avis des élèves

 

 

Ludwig: Un livre qui au début donne une appréhension: on pense qu'il ne va rien se passer, et au final on ne se trompe pas. Mis à pars les quelques histoires sur les personnages, qui à mon avi ne sont pas assez poussées,  on n'est pas vraiment passionné par l'histoire. On perd vite le fil de la lecture, on pense à autre chose et si on perd un bout de l'histoire on arrive vite a retrouver le fil de l'histoire. Ce qui distingue ce livre est son style d'écriture que j'ai trouver assez bon, à pars quelques rares petites erreurs que j'ai noté mais qui sont plus de l'ordre de recherche de l'auteur. On ne s'arrête pas assez sur un personnage ou un autre dans ce livre c'est ce que j'ai trouvé dommage et puis la fausse trame principale est trop poussé, c'est intéressant de connaître les étapes et tout les détails de la construction d'un pont mais pas dans un roman...

 

  

Camille:

Pour tout avouer, je n'ai même pas fini ce livre. J'ai tenu les cent premières pages, Mais je n'ai pas réussi à aller plus loin malgré toute ma détermination... Un livre inintéressant malgré un style d'écriture plutôt bon, mais l'histoire n'accroche pas, même si l'auteur cherche à attirer l'attention du lecteur avec quelques descriptions de personnages totalement bâclées à mon goût. A éviter.

 

Maiwenn & Gwenn

 

 

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