Dana :
Trois chapitres, trois récits différents qui racontent l'histoire de trois femmes: Norah, Fanta et Khady Demba. Elles se battent chacune pour préserver leur dignité avec une obstination méthodique contre les humiliations que la vie leur inflige.
Trois Femmes Puissantes, ne correspondait pas réellement à mes attentes. Je m'attendais à quelque chose de plus captivant. J'ai trouvée que les personnages et les récits n'étaient ni attrayants, ni envoûtants. Ils ne donnent pas envie de poursuivre la lecture.
Léa :
Ce roman raconte l'histoire de trois femmes : Norah, Fanta et Khady Demba. On découvre l'histoire de chacune de ces "femmes puissantes" dans trois chapitres différents. On
partage leur aventure, leur combat
Mon Avis
:
J'ai lu beaucoup de critiques sur
Marie NDIAYE et son roman Trois Femmes Puissantes et mon avis
est partagé. D'un côté j'ai beaucoup aimé ce livre car l'auteur nous emmène dans une atmosphère lourde qui est superbement décrite et c'est sans doute pour ça que, d'un
autre côté, je n'ai pas apprécié cette oeuvre, car NDIAYE nous écrit un livre dérangeant, un conte de fée à l'envers qui nous laisse sans voix.
Marie. N :
J'ai bien aimé ce livre, la forme est très originale. Marie NDIAYE raconte trois histoires différentes sur les condittions de la Femme. Lorsque on lit ce roman il ne nous laisse pas indifférents à chaque histoire une réflexion s'impose.
Ewana:
J'ai aimé ce livre. Je trouve ces histoires plutôt poignantes. Ces vies difficiles voire très dures sont à degré plus au moins élevé dû à des hommes. Je retiens une sorte de mise en garde de l'auteur vis-à-vis des hommes, qui, je trouve est très présante et très forte dans ces histoires.
Constance :
Eh, bien, quitte à m'entendre dire que je me laisse influencer par le choix des jurés Goncourt, je vais juste dire que ce roman est rempli d'une grande finesse dans l'écriture qui peux certes parfois compliquer la lecture mais qui toujours enrichie le style de cet(te : on met au féminin ou pas ?) auteur. Les histoires de ces trois femmes, puissantes chacunes de façon différente -la première, émigrée de retour au Sénégal, par la défense, la seconde, immigrée en France, par le silence, la troisième, en émigration du Sénagal vers la France, par sa détermination-, sont poignantes et, malgré l'envoûtement dans lequel nous berce Marie N'Diaye, réalistes.